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INTERVIEW # 9 MATHIS


MATHIS

Pop/Rock Français

( LYON )

1/ Présentations :

a/ On veut te connaitre

Comment t'appelles tu,d'où viens tu?La musique est ton métier?

Mathis, chanteur pop-rock en français. Né et vis à Lyon. Je suis pour l’instant auto-produit et cherche à démarcher des labels, tourneurs, maisons de disques.

Peux tu nous parler un peu de ton parcours musical?

Je viens de la scène rock, avec une expérience d’une dizaine d’années de groupes de reprises. On jouait essentiellement du Beatles, Stones, les fondamentaux, mais aussi du Nirvana, Ben Harper, Radiohead, White Stripes, en tournant assez régulièrement sur Lyon et sa région (on faisait 3 à 5 concerts par mois) A l’époque j’étais guitariste soliste puis progressivement je me suis mis à devenir chanteur des groupes. Parallèlement à cela, je composais des chansons en français, dans un tout autre registre donc, juste pour le plaisir, sans imaginer que cela finirait par devenir mon projet le plus important artistiquement.

b/ on veut découvrir le passif,le présent , l'histoire ton projet

Peux tu nous présenter ton projet ?

Ce projet vient donc de très loin. Je composais donc pour moi, et vers 2009,2010, je n’avais plus de groupes, et j’ai commencé à maquetter ces chansons en français. Ca m’a pris 2 ans environ, je faisais vraiment ça à mon rythme, pour le plaisir, et au bout d’un certain temps, j’ai commencé à envisager d’en faire un album. Le pseudo « Mathis » est celui que j’avais quand j’écumais la scène « café-concert » mais le répertoire pop-rock en français est quand à lui différent de ce que je faisais avant.

D'où t'es venue l'envie de créer ce projet?

Essentiellement de l’idée de faire quelque chose de différent d’avant : monter un projet solo, voir comment articuler ce désir personnel et un projet d’envergure aspirant au professionalisme. J’avais l’impression que mes chansons tenaient la route et que je pouvais être crédible dans ce registre-là. Même si j’ai mis du temps !

Peux tu nous raconter un peu "l'histoire",le "vécu" de ton projet ?

J’ai donc sorti un premier album en Avril 2013 : « Centre ville », enregistré à Lyon par Xavier Desprat. J’ai ensuite monté une équipe de musiciens de scène et nous avons en tout fait une trentaine de dates en un an et demi, dont les 1ères parties des BB BRUNES au Ninkasi Kao, de DARAN au Marché gare, de NILDA FERNANDEZ à Lyon pour la fête de la musique, et de LAURENT LAMARCA au Radiant. Cela m’a amené à fin 2014, moment où je pensais prendre un congé d’un an pour bosser de nouvelles maquettes et revenir en studio en 2017 ! …. mais les circonstances ont fait que j’ai été amené à rencontrer des musiciens professionnels réputés au cours du 1er semestre 2015 qui m’ont aidé à enregistrer ce qui est donc devenu mon 2e album : Christophe Deschamps (Goldman, Souchon, Calogero, etc) à la batterie, Philippe Almosnino (Wampas, Biolay, Vanessa Paradis, etc) et Yan Péchin (Bashung, Thiéfaine) aux guitares, Jean-Max Méry (-M-, Phoenix) aux claviers : des artistes fantastiques et des gens adorables qui m’ont galvanisé ! L’album a été enregistré sur une année entre Lyon (Hacienda,Mikrokosm) et Paris (studio History) et mixé par Marc Gueroult (Archive, Zazie) : « Ombres et visages » est sorti en janvier 2016, avec un concert inaugural au Transbordeur à Lyon, puis d’autres dates m’ayant amené notamment sur les scènes du Réservoir et du Bus Palladium à Paris.

Es-tu accompagné de musiciens(si oui peux tu nous les présenter ? Mes musiciens de scène m’accompagnent depuis deux ans ; et ont aussi participé à l’enregistrement de ce 2e album : -Philippe Berruyer à la basse. Il a longtemps joué avec le chanteur Pep’s (Liberta) -Clément Vullion à la batterie : c’est un vieux complice des années «groupe de reprise » -Brice Milliat à la guitare -Martin Di Rollo aux claviers et samples

Ces deux derniers musiciens ont formé un groupe d’Electro-Rock épatant : XI Tous viennent de la région lyonnaise et des environs.

Quelle place prennent ils dans ton projet ? Ils sont mes accompagnateurs sur scène, mais surtout de formidables partenaires humains dans cette aventure : nous sommes très proches et échangeons beaucoup artistiquement et au-delà. C’est la chose la plus importante désormais : la complicité créée au fil du temps.

D'autres personnes gravitent autour de ton projet ? En quoi sont-ils des acteurs au sein de ton projet ?

Je suis entouré également d’une équipe technique pour les concerts : -Raphaël James au son, ainsi que Xavier Desprat -Jimmy Boucher aux lumières, qui bosse pour le collectif « Lumières Ephémères » Au-delà de l’aspect scénique, le projet reste un projet auto-produit pour l’instant même s’il a vocation à évoluer, je suis donc tributaire de l’aide généreuse que mon entourage peut me donner comme pour mon site internet (géré par Fabien Lucas) ou autres coups de mains, visuels ou sonores (je tiens à citer ici Grégoire Revel, ami à tout faire !)

Sur le plan visuel, c’est l’agence CBT Studio qui s’occupe de moi. Et pour les images live, j’ai la chance d’être accompagné par le mythique photographe ZOZ.

c/ Parlons en détail de ta musique , du fond de tes chansons

Comment caractérises,décris tu ta musique?

Ma musique me semble être la synthèse du rock des années 90 et d’influences plus pop comme Radiohead, Jeff Buckley, Alain Bashung.

Tu écris en français, pourquoi ce choix?

J’écris en français d’une part parce que je suis incapable d’écrire dans une autre langue ! Mais aussi parce qu’il me semble intéressant en tant que chanteur d’exprimer des idées ou des sentiments auxquels je crois ou que je ressens vraiment : écrire en français me permet donc une certaine sincérité que je domine mieux techniquement.

Que cherches tu à transmettre?

Question complexe….A priori : mon regard sur les choses que j’observe, ma façon d’envisager les rapports humains. Mais je me demande de plus en plus si la chanson est vraiment le lieu pour cela. N’y a-t-il pas une nécessité de l’allusion, voir de l’ellipse, pour privilégier les sensations plutôt que du contenu clairement balisé….j’ai l’impression d’avoir peut-être été très conventionnel dans ma démarche !

Quels artistes t'influencent ou t'ont influencé ?

En français : Alain Bashung, Stéphan Eicher. Sinon : Bob Dylan, Radiohead, Jeff Buckley, Ben Harper, PJ Harvey, Bowie….

De quoi parlent tes textes en général?Quels sujets t'inspirent le plus?

Mes deux albums se répondent car ils ont pour thème respectivement la solitude et les rapports aux autres : mes chansons décrivent donc des situations ou des impressions liées à ces deux états, et dans lesquelles on peut trouver à chaque fois une satisfaction, voir même du plaisir ou à l’inverse une déception et de la tristesse. Il s’agit donc d’observer, de décrire, les enjeux existentiels que nous pouvons rencontrer dans nos quotidiens respectifs.

On sait que composer,ça ne se décide pas, quels sont tes conditions optimales et nécessaires à la composition?Comment abordes tu la composition?

Se retrouver seul, avoir une guitare dans les mains, rêvasser, faire une suite d’accord négligemment, et puis finir par trouver quelque chose qui sonne. Pas toujours hélas ! Mais parfois le charme opère. Y a quelque chose qui attire l’attention. Alors je me mets à bosser dessus pour développer l’idée, ou bien j’enregistre ce fragment et j’y reviens plus tard, en ayant parfois commencé à réfléchir à des idées de texte.

Tu commences par la musique ou le texte?

J’ai toujours des idées, des thèmes de chansons, et aussi des phrases, des expressions qui sonnent bien. Parfois le texte se fait à partir de ça et je trouve la musique complète après, mais en fait, en réfléchissant bien, je crois que j’ai toujours un riff, une suite d’accord qui donne déjà une tendance forte au texte qui viendra.

Que cherches tu à dégager en terme d'émotions à travers tes compositions?

Un sentiment d’intensité. Il me semble important de faire ressentir une forme de tension, d’urgence, pas forcément dans la rapidité ou la violence, mais dans un enchainement d’accord, dans le choix d’un mot, dans une intonation.

Quelle est ton approche en rapport à "l'affinage" de tes compos? tu les fais écouter et juger par des auditeurs de confiance?tu les test en live? ou tu fais confiance à ton jugement?

Je suis assez solitaire et j’aime bien bosser les chansons jusqu’à les terminer. En général je les fait écouter ainsi en « guitare-voix », à certains proches qui me donnent leur avis, au point parfois de faire des corrections derrière. Je ne les teste jamais en live par contre.

Vas tu puiser des idées dans des styles différents du tien?

Il faudrait ! Début 2015, en préparant mon nouvel album, je voulais absolument m’orienter vers un truc à la « Ghost Stories » de Coldplay : quelque chose de très atmosphérique, introspectif et en même temps aéré. Finalement, ça sonne très « classic pop » avec des batteries, des orgues hammond, des envolées de guitares, etc ! Je ne désespère pas de réussir à évoluer au-delà de mes références de musicien !

Je bosse d’ailleurs en ce sens en ce moment pour la suite. On verra !

As tu un rituel après la finalisation d'un titre (entier)?Lequel?

Pas de rituel précis. Je l’écris, le compose et le joue jusqu’à être sûr des paroles, musiques et structures. Une fois que j’ai cette démo fiable, je fais en général une maquette en enregistrant tous les éléments afin d’avoir la tendance des arrangements. Mais j’ai appris sur ce nouvel album à faire davantage confiance aux musiciens qui me proposaient eux-mêmes des arrangements à partir des démo, puisque l’enchainement des évènements a fait que je n’avais pas eu le temps de faire les maquettes de tous les titres.

Ecris tu pour d'autres ?

Pas de manière régulière. J’ai fait quelques textes pour des amis musiciens, mais rien de réellement abouti. Je travaille par contre actuellement avec un jeune artiste lyonnais dont je vais réaliser l’album cet été, c’est super intéressant ! On en reparlera à l’automne !

Te laisses-tu tenter à d'autres styles?

Pas vraiment….ce projet ne sera pas dans mon registre artistique, mais pas trop éloigné non plus : de la pop introspective, un peu à la Fink, Bon Iver….mais avec des choses inattendues !

2/ Actualité disque

Nous allons parler de ton disque, quand est-il ou va-t-il sortir ?

L’album « Ombres et visages » est sorti en Janvier 2016, avec un concert inaugural au Transbordeur à Lyon

Quel est son format? C’est un album de 11 titres.

Où et Comment a t il été produit ?

Enregistré entre Février et Novembre 2015 aux studios Hacienda, Mikrokosm, History, notamment avec Christophe Deschamps (Goldman, Souchon, Calogero, etc) à la batterie, Philippe Almosnino (Wampas, Biolay, Vanessa Paradis, etc) et Yan Péchin (Bashung, Thiéfaine) aux guitares, Jean-Max Méry (-M-, Phoenix). Mixé par Marc Guéroult (Archive, Zazie).

Album intégralement autoproduit.

Combien de temps a pri sa réalisation?

9 mois.

Est-il représentatif du live?

J’aime assez l’idée qu’un album en studio ne sonne pas comme du live, et que les chansons sur scène sonnent différemment du disque, plus âpres, plus incisives : afin de montrer des panorama artistiques complémentaires.

Instruments ajoutés?

Sur l’album il y a : basse, batterie, guitares électriques et acoustiques, claviers en tous genres, boucles, samples, boites à rythme, mais aussi saxophone (1 titre) violoncelle (3 titres) et même de la boite à musique !

Comment vis tu cette période d'enregistrement où l'on "fige" sa musique sur un support?

Toujours avec beaucoup d’angoisse, car les décisions sont définitives et le temps dont on dispose en studio en tant qu’artiste autoproduit est bien trop faible (en regard des possibilités financières) : il faut donc faire beaucoup de pré-prod et s’entourer de gens créatifs et efficaces.

Qu'espères tu transmettre à travers ce disque?quels messages à faire passer?

Je ne sais pas. J’ai tendance à penser que le disque appartient vraiment à celui qui l’écoute, il n’y a rien de pré établi dans ce disque.

Où peut-on se le procurer ? L'écouter?

On peut se procurer l’édition physique via mon site internet : www.mathisweb.fr Ou chez Gibert Joseph. Ainsi qu’à la FNAC à partir de Septembre 2016. Sinon, on peut acheter l’édition numérique sur iTunes. Et écouter en streaming sur les plateformes habituelles : Spotify, Deezer.

Quel est ton objectif à travers ce disque?

De montrer aux professionnels que mon projet est crédible, ma progression constante, et ma détermination sans faille !

3/MATHIS en Live

Pour commencer, quand et quelle a été la première sortie en concert de ton projet? Contexte spécial?

Avant la sortie de mon 1er album en 2013, j’avais déjà une grosse expérience scénique, avec environ 110-115 concerts. Je connaissais par cœur toutes les salles « accessibles » aux groupes amateurs. J’avais donc l’ambition de me produire enfin sur des salles professionnelles, pour pouvoir enfin connaître des expériences sérieuses, et quitter un peu les conditions parfois précaires du café-concert et assimilés… J’ai donc essentiellement tourné sur Lyon, en découvrant les scènes du Ninkasi Kao, du Radiant, du Marché gare, puis du Transbordeur, pour la sortie du 2e album, en janvier 2016. Moment totalement magique, car lieu mythique, grosse ambiance et conditions techniques qui permettent réellement de mettre en valeur le travail de chacun.

Quel(s) souvenir(s) en gardes tu?

Le souvenir précieux d’un accomplissement : ce n’est pas rien de pouvoir jouer sur une scène pareille ! Et la musique produite prend une ampleur qu’elle ne peut pas avoir dans un coin de scène mal éclairé, mal sonorisé, avec des gens qui ne viennent pas spécialement pour écouter le groupe qui joue….Donc oui, ça a fait une grande différence qui nous a galvanisé sur scène.

Quel est ton meilleur souvenir?le pire?

Mon meilleur souvenir, c’est peut-être la 1ère partie des BB Brunes en Janvier 2014 au Ninkasi Kao : 600 personnes, dont une centaine pour nous, en 1ère partie ! une ambiance extraordinaire : on a joué pied au plancher pendant 30mn qui ont eu l’effet de durer 5…..mais super intense !

Le pire…peut-être mon tout premier concert, il y a bien bien longtemps, lors d’une fête de la musique. Je jouais seul, je n’avais aucune expérience, je chantais pas très bien…j’ai ouvert la soirée, et au bout de 2 chansons, l’organisateur m’a fait descendre de scène !

Quel est ton moment préféré pendant un concert?Le moins agréable?

Mon moment préféré ? Quand ça commence, je pense. J’adore le moment où on est vraiment dedans, quand on commence à en découdre ! Le meilleur moment quand même c’est quand tu sens qu’entre musicien, ça joue, il se passe un truc, y a un feeling commun qui nous emmène au-delà de la simple exécution de la chanson. Ca peut arriver en repet d’ailleurs !

Le moins agréable c’est sentir qu’il y a quelque chose qui ne va pas, un des musiciens qui n’a pas le feeling, sur une chanson, ou un passage.

Quelle ton approche du live ?

Très basique : élaboration de setlist, répétitions grandeur nature (en groupe, et dans les conditions du live), analyse et organisation des enchainements des chansons et des parties du concert (super important selon moi)

Comment es-tu avant de monter sur scène?

Tellement heureux d’avoir la chance de monter sur scène que cela dissipe le trac éventuel. De fait, je peux dire que je n’ai jamais vraiment stressé avant une grande échéance. C’est un tel privilège de pouvoir faire de la scène ! J’ai connu tellement de situations foireuses, que je me dis à chaque fois que je n’ai pas le droit de gâcher mon plaisir !

Quelle(s) relation(s) cherches tu à créer avec tes musicens sur scène?

Il me semble impératif que cela donne l’impression d’être un groupe : même si c’est un projet solo et que les musiciens m’accompagnent, sur scène, leur talent, et la qualité de nos relations fait que nous sommes tous sur le même pied d’égalité. Même si je suis le chanteur et que j’ai la responsabilité du truc, il est très important pour moi que les musiciens soient mis en avant réellement.

Quelle ambiance cherches tu à créer dans ta représentation?

C’est clairement plus rock que sur mes disques, assez radical en fait. Je trouve que dans une salle de concert, quand on est spectateur, il faut que ça bouge, il faut vibrer. C’est donc important de transmettre beaucoup d’intensité. Même si c’est parfois au détriment d’une certaine intimité.

Comment est accueilli ta musique?

En général avec pas mal d’enthousiasme sur les chansons rapides, et peu de concentration pour les chansons plus introspectives ! comme tout le monde en fait. Ce qui me plait vraiment, c’est de voir quelles chansons fonctionnent vraiment sur sçène. Les réactions du public dans la salle sont un vrai révélateur finalement.

Ca arrive... as tu déjà joué devant personne,ou devant un public indifférent? Qu'en penses tu?

A l’époque des café concerts, oui, de temps en temps. C’est super triste. On a l’impression de déranger, et en même temps ça peut se comprendre aussi. Ce n’est pas vraiment de la musique, mais de l’animation. Ca a fini par me démoraliser, et c’est aussi une des raisons qui m’a poussé à changer et à développer mon projet solo. Dans de vraies salles de concerts, les gens dans la salle peuvent ne pas aimer mes chansons (dans un festival par exemple), mais, par définition, ils sont venus volontairement, par eux-mêmes, pour écouter de la musique. Ca change tout, en terme de rapport artistique et humain, même.

Quelle est la première chose à laquelle tu penses quand tu descends de scène?

Savoir comment ça s’est passé. J’ai cette angoisse à chaque fois : c’est la première chose que je fais ! j’évalue la qualité de ce qu’on a fait, et je demande à mes musiciens, aux gens backstage.

Quelle(s) relation(s) cherches tu à créer avec le public ?

Quelque chose d’extrêmement simple, naturel. Je crains par-dessus tout le côté factice du chanteur « susceptible d’avoir du pouvoir » pour donner son avis, forcer les gens à chanter, même….Tout cela parce qu’on a un micro branché ! Je m’adresse à ceux qui viennent m’écouter avec le plus de bienveillance et d’altérité possible je crois. J’essaie en tous cas.

Tes interactions avec le public sont écrites,ou improvisées?pourquoi ce choix?

Elles ne sont pas improvisées, elles sont prévues. Pas écrites réellement, mais je sais toujours ce que je vais dire. Ca fait partie de l’articulation du concert, des enchainements, c’est une forme de professionnalisme, aussi, je trouve. Et ça n’empêche pas de dire deux ou trois trucs non prévus, en fonction des circonstances !

Comment vois tu le travail "d'après concert"?

En tant que musicien auto-produit, le travail se résume à une chose abominable : ranger immédiatement le matériel et vider la scène. C’est, de loin, la pire des choses !

On veut tes liens

4/Pour clore l'interview

Qu'attends tu pour la suite?

Après le concert prévu au Bus Palladium le 27 mai, je coupe un peu pour préparer la suite des concerts à l’automne, avec sûrement pas mal de surprises et de changement, mais toujours dans le cadre du projet « ombres et visages », avec pour ambition de faire valoir mon travail auprès de professionnels.

Quels sont tes projets, tes actus?

L’actu c’est le concert au Bus Palladium à Paris le 27 mai qui cloturera la première série de concerts entre Janvier et Mai. Après, préparation des concerts de la 2e partie de l’année 2016.

Où on peut te retrouver?

Sur tous les sites répertoriés plus haut, à Lyon si on me croise (avec plaisir !) et sur scène à la rentrée si les beaux projets en négociation actuellement aboutissent !

Toute l'équipe du Blog de Marius vous remercie d'avoir pris le temps de nous répondre ! Nous vous souhaitons bonne continuation et réussite !


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